Lu sur Libération : "A priori, ils sont en bonne santé, ne souffrent d'aucune maladie, d'aucune malformation, d'aucun risque mortel à la naissance. Et pourtant, ils ne souffleront jamais leur première bougie. D'après le centre d'épidémiologie sur les causes nationales de décès, «c'est la première année de la vie qui est marquée par la mortalité la plus élevée». 8 010 cas en France en 1980, 3 393 en 2000 sur 774 000 naissances. Les chiffres diminuent régulièrement mais préoccupent les autorités de santé publique. Depuis qu'il est recommandé de coucher les bébés sur le dos, le nombre de morts subites inexpliquées du nourrisson a considérablement chuté. Mais les autres causes de mortalité du nouveau-né sont nombreuses. Mort accidentelle, mort de cause non déterminée, mort violente... Combien de ces morts seraient évitables ? Et comment se répartissent-elles ?
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